PARCOURS ARTISTIQUE 

MOLOK

Artiste peintre professionnel

Vit et travaille à Nancy

Numéro d’ordre à la maison des artistes n°985677

COTE ART PRICE 2007

PARCOURS ARTISTIQUE

ETUDES UNIVERSITAIRES

Master Meef Second degré  parcours   Arts plastiques Université Paul Verlaine à Metz

Master de recherche Esthétique, arts et sociologie  à l’Université Paul Verlaine à Metz57

Obtention Licence arts plastiques Panthéon Sorbonne Paris 1

Obtention DUT Communication des entreprises

Cote Art Price 2007

TECHNIQUE ARTISTIQUE

Huile sur toile

Acrylique sur toile

Technique mixte

Pastel

Dessin (mines de plomb, sépia, fusain)

EXPOSITIONS

SMART - Aix en Provence

Les papillons de Carpentras

L'Isle sur la Sorgue

Vente aux enchères –  Rossini Paris

Casino Hyères les Palmiers

Sainte-Maxime

Carrousel du Louvres

GMAC Bastilles - Paris

Lille - Galerie ART 83

Belgique - Mons

New-york

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Molok, une peinture instinctive

 Les tableaux de Molok sont atypiques et entendent le rester 

C’est une invitation  aux confins d’un monde, qui oscille entre rêve et réalité

Dans une mise en scène savamment orchestrée, la couleur bien que présente, peine à trouver ses marques, dans ce dédale de symboles;

La peinture n’est pas un choix, c’est une évidence qui s’est imposée  dès le plus jeune âge. Ses débuts commencent par le dessin, avec des portraits, des paysages, à la mine de plomb, au fusain ou à la peinture. L’artiste débutant s’essaye ensuite à la reproduction de toiles de maîtres (Turner,Delacroix, Velasquez, Fragonard, Modigliani...), jusqu’au besoin de créer ses propres œuvres.

Jamais de croquis, ni de travail préparatoire, tout est question d’instinct ; plus qu’une envie, la peinture est un appel, un ordre vindicatif,  auquel il serait vain de tenter de se soustraire : « je ne sais jamais quel sera le  résultat final, .rien n'est gagné d'avance. Je me dois de suivre mon instinct, pour aboutir à un résultat intime qui se doit d’être unique ;  je ne cherche nullement à me cantonner dans un style, mes premières toiles étaient figuratives, aujourd’hui c’est l’abstraction qui domine, il ne faut jamais rien renier de son parcours »  

 L’artiste ajoute, que la création d’une toile peut prendre quelques jours où quelques mois, parfois plus ; l’idée s’impose et chemine jusqu’au dénouement final. Il faut composer avec la contrainte du doute, car l’inspiration est une donnée capricieuse. De plus, il faut composer avec la matière, il faut êviter de s'acharner quand l'idée n'est pas au rendez-vous, pour reprendre quelques temps après.

« C’est une lutte perpétuelle, car je remets souvent mon travail en question : quand le doute s’insinue, j’ai alors le sentiment d’être dans un labyrinthe dont l’issue est introuvable : la difficulté étant de matérialiser une impression, et d’en faire une œuvre. C’est un peu, comme retrouver un visage vaguement aperçu dans une foule dense, il faut ouvrir l’œil et compter beaucoup sur le facteur chance. Une fois, l’orage  passé, la toile achevée, tout rentre dans l’ordre. C’est à chaque fois, une union sacrée entre l’artiste et la toile, un cheminement lent et douloureux pour aboutir enfin, à la création d’une toile. »

 Les propos semblent forts mais c’est un moyen de légitimer l’attachement, que les artistes, éprouvent à l’égard de leurs œuvres : Elles sont liées à eux par un lien indéfectible.

Molok, an instinctual art

Molok’s paintings  are atypical and intend to stay that way! It’s an invitation to the far reaches of a world, a world which oscillates between dreams and reality. Within a cleverly orchestrated scenario, colour though present, has difficulty finding its place, in a maze of symbols. Listening to her, her works of art are more than just an expression of her artistic creation; they are pieces of her soul: seldom a projection of joy, often a bowlful of worries. In Molok’s opinion, an artist is necessarily a hypersensitive being, a kind of « sponge » that upon contact easily soaks up all of life’s negative elements. It is therefore salvation for her to unload such an accumulation through creativity. For most artists, anxiety unconsciously becomes a sort of motor, as it brings on an addiction to art through the questions that it evokes. The reason of life, death, of beyond, childhood or even injustice, are many of the questions that feed the painter’s work. It’s a never-ending source of inspiration, as more than anyone else, the artist is, generally, conscious of the transient nature of life as (s)he is constantly working on his/her work of art that will be his/her heritage. Painting wasn’t a choice; it was a fact that came to light at a very young age. It started through drawing, with portraits, landscapes with leaded pencils, charcoal or paint. The novice artist would then try her hand at reproducing paintings by Masters of art (Turner, Delacroix, Velasquez, Fragonard, Modigliani...), until she felt the need to create her own pieces. Without sketches, or preparatory work, it’s all a question of feeling; more than just an urge, painting is a calling, a vindictive ruling, unto which trying to remove herself would be in vain: « I never know what the final product will look like; the battle is between the canvas and the soul. I have to follow my instinct, to get to an intimate result that must be unique; I‘m not looking to place myself in a style in any way, my first canvasses were with figures, today abstraction dominates, one must never disown anything from one’s career path». The artist adds, that the creation of a painting can take a few days or a few months; the idea takes hold and pushes on to the final outcome. It’s necessary to paint under the duress of doubt, for inspiration is a temperamental thing. «It’s a perpetual struggle, as I regularly challenge my work : when doubt has wormed its way in, I then have the feeling that I’m in a labyrinth with a well hidden exit :the difficulty being to carry out an impression, and to make it into a piece of art. It’s a bit like finding an only very slightly noticed face in a thick crowd, it’s necessary to keep an open eye and rely on the lucky factor a lot. Once the storm has passed, the painting finished, everything falls into place. Each time, it’s a sacred union between the artist and the canvas, a slow and painful progression to finally, end in the creation of a painting. » Such words may seem strong but it is a means to legitimise the affection that artists feel for their works: they are joined together by an unfailing link. .